La « gastroentérologie générale » concerne les 4 millions de patients restants, identifiés par une hospitalisation, un acte ou une consultation de spécialiste, pour lesquelles il n’a pas été possible de définir avec précision la pathologie en cause chez une grande majorité pour des raisons d’ordre méthodologique, soit parce que les séjours n’ont pas été codés avec précision, soit parce qu’il s’agissait d’actes « isolés » ou de consultations externes par un HGE dont il n’est pas possible d’identifier le motif.
C’est parmi ces patients que l’on retrouvera ceux avec symptômes digestifs divers, pathologies fonctionnelles digestives, reflux gastro-œsophagien, anomalies du bilan hépatique non étiquetées, etc. Bien sûr, le poids des pathologies digestives vues uniquement hors du champ de l’HGE (médecine générale, autre spécialités) ne peut apparaître dans ce travail, et il est probablement très important en volume.